الخلاصة:
Les Pénalités Estimées Dans La Législation Pénale Islamique Et Ses
Alternatives Dans La Loi"" c'est un thème de recherche qui est venu pour
répondre à la question posée par un grand nombre de personnes, les
musulmans et les non-musulmans: pourquoi la majorité des pays islamiques
n'appliquent pas la législation pénale islamique et la quitter?
J'ai commencé à partir d'une hypothèse principale que la cause de cet
abandon est les sanctions destinées; parce que se sont intouchables. car les
sanctions de la législation pénale islamique généralement se répartissent en
deux catégories: les pénalités destinées (les peines d'elhodoud, le talion, le prix
de sang et l'expiation) qui se sont fixées en terme de quantité et de qualité. Dans
ce cas les responsables soit le chef d'état ou le juge ne peut ni les surpasser ni
les diminuer au même temps ni les remplacer ni les pardonner. Au contraire, la
deuxième catégorie se sont sanctions réprimandes qui se ne diffèrent pas à les
dispositions des peines de la loi positive.
Je voudrais à travers cette recherche de connaitre le volume de ses
pénalités destinées et ses dispositions et à quel point, elles se diffèrent aux
pénalités alternatives choisies par loi et connaitre la cause qui a poussé ses
pays de les abandonner; c'est pour cela on a proposé les hypothèses suivantes:
- Est ce que les pénalités destinées dans la législation pénale islamique sont
plus dure que la justice l'exige? moins faciles? le temps les dépasser? Ou la
mondialisation qui a exigé cet abandon?
Y- a- t- il des autres causes qu'on peut les atteindre à travers cette recherche?
Et à la fin, j'ai posé une autre question:
Est que ses pénalités alternatives choisies par la loi pénale algérienne ont
réussi d'atteindre les objectifs ciblés?
Après la recherche et l'étude à fond, on a atteint que les pénalités
destinées sont exigées sur quelques crimes seulement, entre sept et douze crime,
mais elles sont les plus dangers sur la sécurité et la paix de la société.
On a constaté que les pénalités destinées dans la législation islamique
sont diverses, et chaque peine est convenable avec la crime exigée. la gravité de
ses pénalités nécessite une grande difficulté et beaucoup des conditions pour les
prouver et les rendent des pénalités de menace que des pénalités exécutives.
J'ai conclu finalement de tout cela que la cause principale de cet
abandon; c'est l'ignorance des dispositions de ses peines, et nous n'avons pas
les étudier d'une manière objective et académique sans aucun jugement
précédent. Ce qu'il concerne les alternatives choisies pour les pénalités destinées
par la loi pénale algérienne sont moins diverses notamment, après l'arrêt
d'exécution de peine de mort. Ces alternatives se basent d'une manière
principale sur les peines privatives de liberté et parfois associé de l'amande. On
a montré que ces sanctions ont des inconvénients malgré la réforme qui les
toucher, en plus elles ne sont pas un traitement magique pour toutes les
infractions, et elles n'atteignent pas les objectifs traces, mais au contraire, elles
encouragent la criminalité.
En conclusion, parmi les recommandations suggérées on a recommandé
d'intégrer la législation pénale islamique dans les programmes étudiés dans les
facultés, les instituts des droits, l'école supérieure de la justice et la certificat de
la compétence professionnelle d'avocat, pour l'étudier d'une manière objective
et académique libre. Si les responsables ont estimé leur réussite pourquoi pas
l'appliquer. ainsi que on a proposé de chercher sur des alternatives pour les
peines privatives de liberté; parce que ses nocivités et plus que ses utilités. Ces
alternatives, peut-être sera à la retour progressivement aux pénalités de la
législation pénale islamique.