الخلاصة:
Le dromadaire, bien qu’il soit marginalisé reste rentable s’il faisait objet d’une bonne
gestion, d’un point de vue alimentation très peu couteuse (son alimentation de base se trouve
sur les parcours de pâturages), et il produit diverses matières (lait, viande, poils, peau). Il est
aussi nécessaire pour transport et les festivités, tourisme …La société actuelle reconnait de
plus en plus ces bienfaits et consomment davantage le lait (vertus thérapeutiques), viande
(faible pourcentage en Matière grasse). Ce modeste travail vise à mettre la lumière sur
l’importance de cet élevage à travers la diversité de la population et l’évolution de son effectif
au cours des années. Cette importance sera illustrée à travers la lecture et la synthèse des
travaux de la recherche réalisés dans le domaine en Algérie. Faye, a mis en statistiques, en
2014, le nombre de publications scientifiques par pays relatifs aux grands camélidés. Selon les
principales bases de données Internationales entre 2000 et 2013. D’après la (FAO, 2017), le
nombre de tête en Algérie est 354465. Senoussi et al, quant à eux, et dans la même année, ont
confirmé que l’Algérie vient en quatrième position (ordre descendant). Son cheptel se
distribue ainsi : Sud-Est, Sud-Ouest et Extrême Sud, dispersé entre le Sahara (83%) et la
steppe (17%), ce qui rassemble 17 wilayas principales dans ces régions. Les mêmes auteurs
indiquent que la répartition dans le monde est concentrée dans le désert et les zones semi aride avec 19 millions de têtes. Il existe 26 populations, 10 en Algérie et 97 dans le monde
(Harek et al, 2017). Les principales races en Algérie sont : Chaambi, Ouled sidi Chikh,
Sahraoui, Targui, Naili, et Reguibi. D’après (Ouled Belkhir, 2017) la différence se situe au
niveau des chromosomes. Nous avons conclu que les travaux faits restent dispersés ou restent
non concrétisés et ont besoin d’une pluridisciplinaire