الخلاصة:
Comme de nombreux autres pays méditerranéens et semi-arides, la Tunisie se trouve dans une situation critique visà-
vis de ses ressources en eau, et en particulier les eaux souterraines à propos desquelles on parle aujourd’hui de
surexploitation (Besbes et al., 2014). Or, la « surexploitation » des eaux dans une région, entendue comme
l’exploitation excessive d’une ressource conduisant à une baisse jugée inquiétante du niveau de la nappe ou à la
fermeture d’un bassin versant, est nécessairement le résultat d’un processus historique.