Abstract:
Au niveau du satellite, le signale radiométrique est affecté par la traversée de
l’atmosphère terrestre : les deux principaux mécanismes sont l’absorption gazeuse et la
diffusion par les molécules et les aérosols, donc l’interaction aérosols–rayonnement est
caractérisée complètement lorsqu’on connaît la quantité de rayonnement qu’une
population d’aérosols peut éteindre, la contribution de l’absorption à cette extinction, et
la distribution angulaire de la diffusion. Les quantités correspondantes sont
respectivement l’épaisseur optique, l’albédo de diffusion simple et la fonction de phase.
La surface de la terre n'absorbe pas totalement le rayonnement solaire incident, une
partie de ce rayonnement est renvoyée (réflexion ou albédo) vers I'atmosphère et
l'espace, en étant de nouveau diffusé et absorbé lors de sa traversée de I'atmosphère. Le
réchauffement du sol et I'énergie stockée en surface dépendent de cette partie absorbée.
La connaissance du rayonnement solaire au sol et sa distribution géographique est très
importante pour l'énergie solaire et ces application. Le rayonnement solaire rediffusé
porte la signature des propriétés que l'on caractérise par la réflectance du sol. Le capteur
mesure le rayonnement au sol sont dues essentiellement les variations des constituants
gazeuse de l'atmosphère tels que vapeur d'eau, CO2 ,…et des aérosols. Le coefficient de
réflectance bidirectionnelle et l'épaisseur optique des aérosols jouent un rôle importante
dans le calcule du bilan radiatif à l'interface Terre-Atmosphère, leur mesure demande un
équipement spécifique. Notre étude s'est focalisée sur l'estimation de coefficient de
réflectance bidirectionnelle ρS sur le site de TAMANRASSET, en utilisant le modèle
analytique à bande large, pour les trois heurs de prise d’images à pleine résolution
9h00, 12h00, 15h00 temps universel, et pour des jours de ciel clair à année 1999